Broly
Nom en japonais : Burorî
Race :
Saïyens
| Planète de résidence :
Inconnue
Apparition dans l'anime :
DBZ film 8
Apparition dans le manga :
Inédit
Description : C'est le Super Saïyen légendaire, qui naît tous les mille ans sur la planète Végéta. Broly est né le même jour que Goku, et fut placé dans une couveuse juste à côté de lui. Les cris et les pleurs incessants de notre héros bébé l'ont rendu complètement fou. Le roi Végéta, ayant découvert que Broly possédait déjà une force de 10 000 à sa naissance, ordonna qu'on le tue, lui et son père Paraguss. Mais les deux Saïyens ont survécu, grâce à la gigantesque force de Broly qui créa un bouclier protecteur, il purent même s'enfuir de la planète Végéta avant sa destruction par Freezer. Par la suite, Broly a montré des dispositions étonnantes pour le combat, devant très tôt un Super Saïyen. Afin de le contenir, Paraguss a ordonné à un scientifique de construire un équipement lui permettant de contrôler la force de Broly. Ainsi, il a pu l'"apprivoiser" et en faire un guerrier docile. Malheureusement, lorsque Broly rencontre Goku, cela réveille les causes de sa folie et Paraguss perd le contrôle. Broly devient alors un Super Saïyen légendaire, détruisant tout sur son passage. Il est beaucoup plus fort que Cell, et personne ne peut estimer jusqu'où va sa force. La première fois, il est vaincu par Goku qui avait assimilé l'énergie de Végéta, Trunks et les autres. Il a néanmoins survécu et s'est réfugié sur Terre. Lorsque Goten fut à proximité, ses pleurs réveillèrent la rage de Broly, et il fut vaincu par un Kaméhaméha combine de Goku, Gohan et Goten.
Après a mort, il a été cloné par un scientifique pour le compte de Lord Jaguar Batta à partir d'une goutte de son sang, mais l'expérience a mal tourné.
L'existence de Broly permet de justifier la légende Saïyenne du guerrier hors du commun naissant tous les mille ans. Contrairement aux autres Saïyens, son corps est fait pour supporter une puissance faramineuse, et l'état de Super Saïyen ne l'éprouve pas le moins du monde. Au contraire, il s'y sent bien, et ressent en permanence une envie de libérer la puissance que renferme son corps.